Si vous êtes consultant ou si vous avez déjà travaillé avec des consultants, vous savez que les entreprises ont toujours une relation d’amour-haine avec les consultants.

D’une part, il y a ces exemples où des sociétés de conseil comme McKinsey, BCG et Bain ont été comme une bouffée d’air frais qui a pu apporter les résultats nécessaires et renverser la situation chez P&G, Samsung et Dell.

D’un autre côté, il y a des histoires d’horreur dans les organisations à propos de consultants qui ont promis le monde et n’ont rien donné, comme le travail d’Accenture avec le Service national de santé du Royaume-Uni, le travail de Deloitte avec le Département de la sécurité intérieure des États-Unis, etc.

Le conseil a toujours été un sujet brûlant, et la question de savoir s’il s’agit d’un mal nécessaire continue de faire l’objet d’un débat dans les conseils d’administration et parmi les cadres supérieurs.

Tout comme ce discours de 2 minutes sur les consultants, prononcé par Steve Jobs au MIT, qui a suscité des débats dans différents milieux 👇🏼

Bonjour chers lecteurs, Bienvenue ! Cette édition de la lettre d’information mensuelle Z to A Pulse vous est présentée par Keerthi V, stratège marketing chez Zuci Systems.

Cette lettre d’information tente d’aborder la nature du conseil dans le contexte actuel.

Certaines missions de conseil ne sont pas à la hauteur de leur potentiel pour diverses raisons, notamment parce que les entreprises ne prennent pas en compte les idées précieuses de leurs propres employés et font plutôt confiance à des consultants externes qui ne comprennent pas bien le secteur et l’entreprise.

Et trop souvent, les entreprises ne reçoivent rien de plus qu’un jeu de diapositives fantaisistes en retour de la part des consultants.

Mais… Est-ce là la nature du conseil aujourd’hui ?

La dure réalité, c’est que oui.

Dans de nombreux cas, la nature du conseil s’arrête à la phase de “mise en œuvre”, les consultants s’abstenant de s’approprier les étapes ultérieures. Ces consultants sont incapables de distinguer le bon grain de l’ivraie et d’être un atout précieux pour leurs clients.

Cependant, en travaillant avec nos clients en tant que consultants au fil des ans pour des missions de qualité des logiciels, nous avons vu le rôle évoluer lentement et la dynamique changer.

Chez Zuci, nous croyons en l’idée de “Skin in the Game”, qui repose sur le principe de “l’appropriation immersive”, où le rôle des consultants va au-delà de l’élaboration d’un dossier contenant des suggestions et des recommandations.

Cela signifie qu’en tant que consultant, nous avons fait la preuve de notre capacité à résoudre des problèmes complexes en nous immergeant dans différents projets et différents scénarios. notre expérience nous a permis d’acquérir des connaissances précieuses qui nous permettent de déterminer quelles stratégies sont efficaces, lesquelles ne le sont pas et pourquoi nous avons un intérêt direct à ce que le projet du client soit couronné de succès.

Cela nous rappelle la fois où l’un de nos clients, un fournisseur de solutions de commerce électronique basé aux États-Unis, nous a contactés initialement pour une consultation de 8 semaines sur l’assurance qualité des logiciels, qui s’est ensuite transformée en l’un des partenariats les plus durables à ce jour.

D’après notre expérience, nous pouvons dire que les entreprises recherchent l’expertise de nos consultants en assurance qualité pour trouver des solutions dans ces domaines : Les personnes, les processus et la technologie.

Bien que la mise en œuvre d’une nouvelle technologie semble souvent être la solution à de nombreux problèmes de qualité des entreprises ou des produits, il est essentiel de prendre en compte les effets à long terme.

Comme un pansement sur une plaie, la technologie peut apporter une solution temporaire, mais elle ne s’attaque pas à la cause profonde de la blessure.

Les entreprises connaissent la valeur que nos consultants peuvent apporter en tant que diagnosticiens dans l’identification et la résolution de problèmes de qualité complexes, de situations ou de blessures.

Cependant, nous nous demandons souvent s’il est vraiment possible d’apporter des solutions à des problèmes qui sont souvent liés aux personnes, aux processus et non à la technologie.

C’est une manœuvre délicate, mais l’avantage est que nous sommes au-dessus des politiques de bureau et que nous pouvons apporter des idées et des perspectives précieuses grâce à notre expérience plus large. Nous avons également la capacité de nous affranchir des mauvaises décisions et des économies que les ingénieurs d’essai peuvent être contraints de faire, quel que soit le secteur dans lequel ils opèrent.

Il existe une règle empirique très importante à respecter.

Pour être un consultant ou un partenaire de conseil de qualité, il faut avant tout savoir écouter.

Cherchez d’abord à comprendre, puis à être compris

Qu’est-ce que Zuci fait différemment ?

J’ai abordé ce sujet avec Vasudevan Swaminathan, PDG de Zuci Systems.

L’approche de Vasu en matière de consultation sur l’assurance qualité a été simple et directe. Au cours de son mandat, il a également formé ses coéquipiers à la manière d’ajouter de la valeur à tout exercice de conseil en suivant ces mantras.

Pour lire le reste de l’article, rendez-vous sur le site original de Zuci Systems !

Question pour vous :

Quelle est, selon vous, la chose que les consultants pourraient améliorer ? Simple curiosité !

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